Il se définit comme « un résistant face à l’invasion arabo-musulmane déferlant sur la France ». Un extrémiste castrais de 48 ans, marié et père d’un enfant, risque un an de prison pour avoir profané des tombes musulmanes avec de la couenne de jambon de montagne.
Interpelé lundi chez lui, l’homme a été confondu suite à un prélèvement d’ADN sur les couennes qu’il a laissé dans le carré musulman du cimetière de la Barque.
Selon la police, ce militaire retraité n’appartient à aucun groupe extrémiste et aurait agit seul. Il a d’ailleurs reconnu et assumé les faits.
Si son geste est d’une rare bêtise, la couenne de jambon aura eu le mérite de ne pas dégrader physiquement les tombes.