Une nouvelle enquête qui vient d’être publiée dans un livre balaye toutes les accusations précédentes concernant le tueur en série le plus connu au monde. Jack l’Eventreur serait en réalité une femme.
Une thèse déjà décriée et jugée ridicule par les spécialistes de l’affaire. Mais l’auteur du livre en est convaincu.
John Morris, avocat britannique à la retraite, a épluché tous les dossiers sur l’affaire pour mettre en place son livre : « Jack The Ripper: the hand of a woman » (Jack l’Eventreur : la main d’une femme).
Le monstre de Whitechapel s’appellerait, en réalité, Elizabeth Williams. « Il n’y a aucun doute. Mais comme tout le monde croit que le meurtrier était un homme, toutes les preuves qui pointent vers une femme ont toujours été ignorées » a déclaré John Morris.
Mobile, occasion et preuves : John Morris ne laisse rien au hasard. Elizabeth Williams, 38 ans en 1888, était une déséquilibrée qui aurait toujours souffert de ne pas pouvoir avoir d’enfants.
Les cinq prostituées tuées par Jack L’Eventreur n’avait pas été violées et dans trois cas l’utérus a été sortis du corps. Pour Morris, c’est forcément l’œuvre d’une femme.
Mais il y aura encore plus : des vêtements féminins brûlés qui n’appartenaient pas à la victime avaient été retrouvés sur une des scènes de crime. Et sur une autre scène, trois boutons de bottine féminine ont été découverts.
Sans compter que Elizabeth Williams était la femme du chirurgien John Williams qui était un des suspects dans cette affaire. Une coïncidence troublante : quand le couple a quitté Londres, les meurtres ont cessé.
Avons-nous enfin mis un terme à cette histoire ?