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Elle a dépensé près de 20.000 livres en… Poneys !

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« Quand on aime on ne compte pas » dit l’adage. C’est sans doute ainsi qu’a réfléchi Sarah Butler qui est probablement la plus grande collectionneuse de poneys au monde. Si elle n’est pas la plus grande, peu s’en faut.

Cela fait 8 ans qu’elle collectionne tout ce qui se rapporte à la série « Mon Petit Poney ».

Tout a commencé quand elle était petite. A l’époque elle a collectionné une centaine de figurines, qu’elle a ensuite données à son adolescence. Mais depuis huit ans, elle a recommencé.

À la sortie de l’université elle a 21 ans et, comme elle le dit elle-même : « J’ai quitté l’université et la vie semblait tellement sérieuse. J’ai commencé à chercher des trucs de mon enfance sur Google et voir les poneys m’a fait sourire. »

Elle en a acheté deux et la fièvre du poney s’est emparée d’elle. Elle arrive à payer 30 livres pour une figurine, avec un record à 980 livres. Aujourd’hui, à 28 ans, elle a dépensé plus de 20.000 livres pour sa collection.

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« Je m’assois souvent dans la pièce [des poneys] et je les regarde. Dans ces moments il n’y a pas de stress, pas d’inquiétudes. ».

Une passion qui ne gêne aucunement son mari Joe qui, lui, collectionne des figurines fantasy et a déclaré : « je sais que le hobby de Sarah est inhabituel mais il me fait l’aimer encore plus ».

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Mais la folie des poneys est en train de s’emparer d’internet depuis la sortie de la nouvelle version intitulée « My little pony : friendship is magic » (Mon petit poney : les amies c’est magique) créée par Lauren Faust.

Les dessins animés de la série Mon petit poney ont fait des adeptes dans la tranche d’âge 18-30 ans, surtout chez les « geeks ». Beaucoup de garçons sont devenus fans de la série qui mélange l’esprit enfantin avec des références très poussées comme le film « The big lebowski » ou encore des jeux-vidéos mythiques tels que Metal Gear Solid.

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En France aussi la fièvre des poneys s’est emparée de certains jeunes. Les fans adultes, et non, de la nouvelle série des petits poneys s’appellent entre eux des « bronies », contraction de « brother » et « ponies ». Des « frères de poneys » en quelque sorte.

Et, en tant que bronie moi-même, je vous conseille d’aller jeter un coup d’œil à cette série dont vous pouvez trouver les épisodes sur internet assez facilement et qui est disponible en vostfr (version originale sous-titrée français) grâce au travail de quelques passionnés qui s’occupent eux-mêmes de la traduction.

Un dernier mot pour mes collègues bronies : « broohoof ! ».

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La Rédaction