Lorsque vous achetez quelque chose avec votre carte de crédit, vous le savez, la société est listée sur votre relevé bancaire. Mais pour ces amateurs de musique classique qui s’étaient rendus à la récolte de fonds de la Sault Symphony Orchestra, la chose n’était pas prévue.
Bon, il n’y a peut-être pas de quoi faire un scandale… mais il y a sans doute eu quelqu’un pour demander à son compagnon ou sa compagne à quoi rimaient ces achats.
La Sault Symphony Orchestra de la ville de Sault Ste. Marie, dans l’Ontario, a fait une petite récolte de fonds sous la forme, sans doute, de kermesse. Et pour la première fois elle a pu se valoir du moyen de paiement le plus courant, la carte de crédit.
Sauf que la petite orchestre ne peut pas se permettre d’avoir ce moyen de paiement à elle seule et a donc demandé à un magasin de la ville de lui prêter gracieusement sa machine. Mauvaise pioche, il s’agissait d’un sex-shop tenu par l’un des membres de l’orchestre.
Les amateurs de musique classique se sont donc vus débiter des sous de la part du Sex-shop « Amore », chose qui n’a pas forcément plu à tout le monde.
Les musiciens étaient même choqués que les personnes soient fâchées de cette petite mésaventure, tellement elle est anodine. Malheureusement, le magasin « Amore » a reçu une très mauvaise publicité.
D’accord, voir 50$ issus d’un sex-shop dans un compte commun peut faire légèrement jaser un couple prude. Mais l’explication est simple non ?
Mais bon, nous sommes en Amérique, alors tout est possible.