Une nouvelle étude découvre que des dizaines de milliers d’Australiens regarde du porno à raison de cinq heures par jours, et donc pas moins de 35 heures par semaine. Le corps médical s’inquiète de cette nouvelle forme d’épidémie.
Les nouvelles générations regardent de plus en plus de porno, bien au-delà de leurs prédécesseurs.
C’est bien exact. Nombreux sont ceux qui passent 35 heures par semaine à regarder des vidéos pornographiques en ligne. Et c’est exactement le même nombre d’heures légal que les français passent au travail. A se demander qui peut passer autant de temps et d’énergie à regarder du porno.
La seconde question à se poser concerne évidement les effets d’une telle consommation. Les spécialistes du corps médical sur ces questions affirment que de telles proportions peuvent affecter le cerveau ainsi que la sexualité de ces boulimiques du sexe virtuel.
Le docteur Watts explique que cela « peut complètement distordre les réalités de la sexualité ». Pour ces personnes addicts, le porno leur permet de s’échapper du stress et des problèmes du quotidien », et entraine une désensibilisation progressive menant à chercher de plus en plus de matière pornographique pour se sentir satisfait. Certaines personnes finissent même par préférer le porno à des rapports réels.