Dans une interview accordée au journal Ouest-France, la première dame revient sur son tweet de soutien adressé au rival de Ségolène Royal.
Un geste vivement désapprouvé au sein du parti socialiste.
« Courage à Olivier Falorni qui n’a pas démérité, qui se bat aux côtés des Rochelais depuis tant d’années dans un engagement désintéressé. ». Un tweet de soutien posté le 12 juin par Trierweiler alors même qu’il s’agissait d’un dissident PS contre lequel Ségolène Royal espérait gagner les législatives.
Plus de trois mois après les faits, la first lady revient enfin sur cette affaire et dit « regretter » son geste. Une « erreur » qu’elle impute à sa maladresse : « J’ai été maladroite puisque cela a été mal interprété. Je n’avais pas réalisé que je n’étais plus seulement une simple citoyenne. »
Un écart de conduite qui avait fait grand bruit et qui avait mis la compagne de François Hollande dans une situation bien inconfortable. Certains membres du PS ont amèrement déploré ce déballage médiatique.
Le dernier mot est revenu au chef de l’état pour qui « les affaires privés se règlent en privé ». Une formule que Valérie Trierweiler a finie par comprendre, évitant dès lors soigneusement les prises de paroles en public.
Moins active sur twitter, la première dame se concentre désormais sur son rôle d’ambassadrice de la Fondation Danielle Mitterrand.
