P { margin-bottom: 0.21cm; }
La pudeur est plutôt une bonne chose dans la vie courante. Mais elle est un héritage culturel assez récent. Dans la Grèce antique, et en particulier dans les représentations des athlètes, la nudité était de mise. Une chose qui n’a pas plu au Qatar qui voulait appliquer la censure.
Vous imaginez une statue d’athlète grec avec un « cache-sexe » au niveau du pénis ?
A Doha, le 27 mars, le nouveau Musée du Sport et de l’Olympisme étiat inauguré. L’exposition prévoyait, entre autres, des statues de la Grèce antique représentant des athlètes. Or, à l’époque et un peu comme dans le calendrier des Dieux du Stade, les athlètes étaient représentés dans leur plus simple appareil.
Mais voilà, un pénis, même si au repos, ne plaît pas au ministère de la Culture du Qatar. Du coup, les autorités ont voulu censurer les parties intimes de ces beaux hommes musclés par un ruban noir au niveau de l’entre jambe.
Au final, ces statues, l’une datant du 6ème siècle avant Jésus-Christ et l’autre de l’époque romaine, n’ont pas été exposées. C’est peut-être mieux comme ça plutôt que de les voir semi-habillées.
Elles sont aujourd’hui retournées dans leur musée d’origine, en Grèce, après avoir séjourné quelques temps dans l’entrepôt du musée du Sport de Doha.
Elles auront au moins vu du pays à défaut de s’exhiber devant le public.
Le Qatar voulait censurer le sexe des statues grecques
La pudeur est plutôt une bonne chose dans la vie courante. Mais elle est un héritage culturel assez récent. Dans la Grèce antique, et en particulier dans les représentations des athlètes, la nudité était de mise. Une chose qui n’a pas plu au Qatar qui voulait appliquer la censure.
Vous imaginez une statue d’athlète grec avec un « cache-sexe » au niveau du pénis ?
A Doha, le 27 mars, le nouveau Musée du Sport et de l’Olympisme étiat inauguré. L’exposition prévoyait, entre autres, des statues de la Grèce antique représentant des athlètes. Or, à l’époque et un peu comme dans le calendrier des Dieux du Stade, les athlètes étaient représentés dans leur plus simple appareil.
Mais voilà, un pénis, même si au repos, ne plaît pas au ministère de la Culture du Qatar. Du coup, les autorités ont voulu censurer les parties intimes de ces beaux hommes musclés par un ruban noir au niveau de l’entre jambe.
Au final, ces statues, l’une datant du 6ème siècle avant Jésus-Christ et l’autre de l’époque romaine, n’ont pas été exposées. C’est peut-être mieux comme ça plutôt que de les voir semi-habillées.
Elles sont aujourd’hui retournées dans leur musée d’origine, en Grèce, après avoir séjourné quelques temps dans l’entrepôt du musée du Sport de Doha.
Elles auront au moins vu du pays à défaut de s’exhiber devant le public.