Nous commençons à ressentir subissons parfois les premiers frémissements du réchauffement climatique. Dans notre contrée, cela fait surtout un sujet de conversation autour d’un verre et du ventilateur qu’il a fallu changer. Cependant, on comprend bien que ce ne sont pas seulement les esprits qui s’échauffent à ce sujet. Quelques phénomènes météorologiques dévastateurs pochent vient troubler notre quiétude. Le dernier rapport du GIEC ( Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) souligne déjà 2 choses. D’une part que les régions tropicales et les villes côtières sont les plus en danger face au réchauffement climatique en raison de l’évaporation de la mer. D’autre part, il y a 2 régions dans lesquelles l’homme ne peut plus survivre.
La montée des eaux d’une part
Le rapport du GIEC est un de ces rapports qui vont permettre de prendre les décisions en matière de lutte contre le changement climatique prises lors de la COP26. Celle-ci va se dérouler en novembre prochain à Glasgow en Écosse. Pour certaines régions, il est déjà presque trop tard. Il s’agit tout d’abord des villes côtières comme Bombay, Venise ou Miami. Bien sûr, on comprend bien comment la montée des eaux va directement impacter les nombreuses installations du bord de mer. Parmi elles on retrouve r des infrastructures stratégiques, comme ports ou aéroports. À cela, il faut rajouter que la hausse du niveau des mers menace également de contaminer à l’eau salée les sols agricoles et rendre bien des région difficile à vivre.
Des populations a déplacer
Environ 10 % de la population mondiale et des actifs sont à moins de 10 mètres au-dessus du niveau de la mer. Et pour certaines mégalopoles, les deltas, les petites îles et les communautés arctiques, les conséquences pourraient se faire sentir très vite. Certainement même du vivant de la plupart des populations actuelles. Beaucoup d’entre elles seront éliminées par les inondations à long terme. Les solutions miracle n’existent pas et les choix à faire sont multiples et de plus en plus compliqués. Par exemple, L’Indonésie a déjà prévu de déplacer la capitale actuelle Jakarta à Bornéo. Il apparaît cependant difficile de convaincre les populations d’abandonner leur foyer voué à la submersion, quel que soit le continent.
Chaleur et humidité insupportables pour 2 régions
Si le pire est à craindre pour tous, pour 2 régions, il est déjà là. C’est le cas à Jacobabad au Pakistan, et Ras Al Khaimah, dans le golfe Persique. Dans ces deux régions, les fortes chaleurs sont associées à une importante humidité de l’air. Du coup, la vie y est devenue presque impossible pour l’Homme. A ce sujet, les spécialistes et les experts du climat de l’ONU expliquent la situation à travers le concept de la température humide. En effet, on résiste quelques a des températures extrêmes, 60 degrés, jusqu’à 100 degrés à condition d’être contact d’un air sec, la sueur s’évapore, et c’est cette évaporation qui nous rafraîchit. Dans un air saturé en humidité, la sueur a du mal à s’évaporer, résultat le corps est en surchauffe.
Plus inquiétant encore ce type de phénomène était « attendu pour 2050, il est visiblement en avance. En priorité, cela ne dit rien de bon pour des parties du continent africain, l’Asie du Sud et du Sud-est, le golfe Persique et le golfe du Mexique. Celles-ci sont les régions les plus exposées, précise le rapport de l’ONU.
Crédit photo : niger desert tenere